Entre mon homme et Verlaine
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D’un jeune homme inconnu, et que j’aime, et qui m’aime,
Et qui n’est chaque fois ni tout à fait le même,
Ni tout à fait un autre et m’aime et me comprend.
Car il me comprend comme je comprends Verlaine
Et si je veux mourir au son de ses poèmes,
C’est près de cet homme-là qu’un jour, on m’étendra.