La femme adultère
J’ai douté, j’ai erré,
J’ai fauté dans des bras
Qui n’étaient pas de toi.
Je me sens écœurée
D’avoir loué mon âme
À ces gens d’avant toi.
Pourtant, si j’avais su,
Je t’aurais attendu
Car tous ces autres, vois-tu
C’était du temps perdu,
Des instants suspendus
Des secondes superflues
Qui m’ont menée à toi
Aujourd’hui dans mes bras
Qui m’ont menée à toi
Pour toujours avec moi.